RT Article T1 Les cultes privés chez les Romains (IIIe s. avant – IIIe s. après J.-C.) JF Pallas VO 111 SP 171 OP 197 A1 Charles-Laforge, Marie-Odile LA French PB Presses Universitaires du Mirail YR 2019 UL https://www.ixtheo.de/Record/1762989689 AB Parler de cultes domestiques semble plus approprié que de parler de cultes privés puisque l’essentiel des actes religieux non publics s’effectuent autour du foyer domestique, sous la direction du pater familias. Cependant, le terme de cultes domestiques est trop restrictif dans la mesure où le citoyen peut participer à des actes cultuels non publics en dehors de chez lui. En effet, n’oublions pas que les individus étaient toujours insérés dans un ensemble de relations sociales. Par conséquent, les cultes privés englobent les cultes domestiques ainsi que les cultes des associations, des quartiers comme le culte des Lares compitales transformés par Auguste en Lares Augusti dans le cadre du “culte impérial”. Tout au long de notre période, les cultes privés ne semblent guère évoluer : ce qui change essentiellement, c’est l’élargissement du panthéon familial à de nouvelles divinités et l’introduction du “culte impérial” au niveau de la domus et du compitum. K1 Genius K1 Genius Augusti K1 Lar familiaris/Lares familiares K1 Lares Augusti K1 compita K1 Familia K1 Pater familias DO 10.4000/pallas.18536