Comment défendre l’anti-pragmatisme de Clifford à propos des croyances en général et des croyances religieuses en particulier
J’expose et critique l’interprétation reçue de la controverse classique entre William Clifford et William James sur ce qu’est l’éthique de la croyance. Je défends la position de Clifford en soutenant que sa fameuse maxime selon laquelle « on a tort, partout, toujours et qui que l’on soit de croire q...
Κύριος συγγραφέας: | |
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Τύπος μέσου: | Ηλεκτρονική πηγή Άρθρο |
Γλώσσα: | Γαλλικά |
Έλεγχος διαθεσιμότητας: | HBZ Gateway |
Journals Online & Print: | |
Fernleihe: | Fernleihe für die Fachinformationsdienste |
Έκδοση: |
Univ.
2018
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Στο/Στη: |
ThéoRèmes
Έτος: 2018, Τόμος: 13 |
Άλλες λέξεις-κλειδιά: | B
William Clifford
B éthique de la croyance B William James B croyance biaisée B raisons pratiques B croyance religieuse B Pragmatisme |
Διαθέσιμο Online: |
Volltext (lizenzpflichtig) Volltext (lizenzpflichtig) |
Πληροφορίες Δικαιωμάτων: | CC BY-NC-ND 4.0 |
Σύνοψη: | J’expose et critique l’interprétation reçue de la controverse classique entre William Clifford et William James sur ce qu’est l’éthique de la croyance. Je défends la position de Clifford en soutenant que sa fameuse maxime selon laquelle « on a tort, partout, toujours et qui que l’on soit de croire que ce soit sur la base d’éléments de preuves insuffisants » doit être comprise comme énonçant que toute croyance qui est le produit de la corruption de notre jugement par nos désirs est fautive. J’indique ce qu’il s’ensuit à propos des croyances religieuses en particulier. |
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ISSN: | 1664-0136 |
Περιλαμβάνει: | Enthalten in: ThéoRèmes
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Persistent identifiers: | DOI: 10.4000/theoremes.1855 |