Réplique

Joas revient sur certains moments de la réception qu’a connus son œuvre par ailleurs, précise le projet d’ensemble auquel ressortit Les pouvoirs du sacré - conçu comme premier volet d’un triptyque - et regrette que la discussion en direct n’ait pas pu avoir lieu pour cause de pandémie. Il donne son...

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Bibliographische Detailangaben
1. VerfasserIn: Joas, Hans 1948- (VerfasserIn)
Medienart: Elektronisch Aufsatz
Sprache:Französisch
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Veröffentlicht: Univ. 2022
In: ThéoRèmes
Jahr: 2022, Band: 17
weitere Schlagwörter:B Historisme
B Troeltsch
B différences réelles
B Royce
B Réception
B universalisme moral
B Durkheim
B malentendus
B Pragmatisme
Online Zugang: Volltext (lizenzpflichtig)
Volltext (lizenzpflichtig)
Beschreibung
Zusammenfassung:Joas revient sur certains moments de la réception qu’a connus son œuvre par ailleurs, précise le projet d’ensemble auquel ressortit Les pouvoirs du sacré - conçu comme premier volet d’un triptyque - et regrette que la discussion en direct n’ait pas pu avoir lieu pour cause de pandémie. Il donne son accord à la perspective d’ensemble et à la teneur de ce que Tétaz met en avant dans l’introduction au dossier. Il dit son intérêt pour le texte de Gonzalez, tout en soulignant que ce dont fait état Gonzalez n’est pas, pour lui, une question centrale. Il précise en même temps que son domaine de travail est la sociologie historique - ou une historiographie des religions informée par la sociologie -, qui est aussi, comme telle, une recherche empirique, et revient sur la comparaison Royce et Durkheim pour marquer quelques inflexions à ce qu’écrit Gonzalez. Joas se penche ensuite sur la contribution de Gisel, soulignant la part de malentendus, mais, aussi, la part de différence réelles, tout en réaffirmant son objectif : mettre en avant une histoire de l’universalisme moral. Joas s’arrête encore sur le texte de Scholl, regrettant que l’auteure traite d’une seule traite le « désenchantement » et la « sécularisation » qui sont, chez lui, deux champs de phénomènes nettement distingués. Quant à la thèse de Scholl - la sécularisation a aussi été mise en œuvre par des acteurs du religieux -, Joas l’approuve d’autant plus qu’il l’a défendue ailleurs. Joas aborde enfin le texte de Ullern, tout en majorant ce que son auteure appelait « ne pas lire », ce qui, du coup, fait échouer une confrontation sur le fond.
ISSN:1664-0136
Enthält:Enthalten in: ThéoRèmes
Persistent identifiers:DOI: 10.4000/theoremes.4560