Ni ajouter ni retrancher: une qualification du texte inspiré ?
L'expression « ni ajouter ni retrancher » attire l'attention du lecteur des auteurs chrétiens anciens, qui la rencontre assez souvent. Empruntée à l'Antiquité païenne où elle a des emplois divers, elle prend dans les textes chrétiens un sens précis lié au canon et à l'inspiration...
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Type de support: | Électronique Article |
Langue: | Français |
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Publié: |
Institution
[2017]
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Dans: |
Revue d'études augustiniennes et patristiques
Année: 2017, Volume: 63, Numéro: 2, Pages: 311-326 |
Sujets / Chaînes de mots-clés standardisés: | B
Bibel
/ Concile
/ Texte
/ Préservation
/ Inspiration
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Classifications IxTheo: | HA Bible KAB Christianisme primitif KCC Conciles NBB Révélation |
Accès en ligne: |
Volltext (Verlag) Volltext (doi) |
Résumé: | L'expression « ni ajouter ni retrancher » attire l'attention du lecteur des auteurs chrétiens anciens, qui la rencontre assez souvent. Empruntée à l'Antiquité païenne où elle a des emplois divers, elle prend dans les textes chrétiens un sens précis lié au canon et à l'inspiration des textes bibliques, mais on la trouve, à partir du ive siècle, appliquée aux textes issus des conciles, ce qui montre une conception de l'inspiration, non pas enfermée dans le texte, mais étendue au lecteur, le concile ayant autorité pour interpréter l'Écriture. |
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ISSN: | 2428-3606 |
Contient: | Enthalten in: Revue d'études augustiniennes et patristiques
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Persistent identifiers: | DOI: 10.1484/J.REA.4.2018004 |