Senghor et la question qui se pose toujours: Entretien avec Souleymane Bachir Diagne

Nadia Yala Kisukidi : Le titre de cet entretien reprend celui d’une communication que vous avez donnée à l’Université de Genève en juin 2012. Comme vous l’aviez indiqué alors, l’expression est tirée d’un texte de Léopold Sédar Senghor lui-même daté du 31 Décembre 1963 intitulé Hommage à Pierre Teilh...

Description complète

Enregistré dans:  
Détails bibliographiques
Auteurs: Diagne, Souleymane Bachir 1955- (Personne interrogée) ; Kisukidi, Nadia Yala 1978- (Interviewer)
Type de support: Électronique Article
Langue:Français
Vérifier la disponibilité: HBZ Gateway
Journals Online & Print:
En cours de chargement...
Fernleihe:Fernleihe für die Fachinformationsdienste
Publié: Univ. 2013
Dans: ThéoRèmes
Année: 2013, Volume: 4
Sujets non-standardisés:B Négritude
B Colonisation
B Fanon
B Humanisme
B Christianisme
B Sartre
B Senghor
B études postcoloniales
B unversalisme
B Afrique
B Interview
Accès en ligne: Volltext (lizenzpflichtig)
Volltext (lizenzpflichtig)
Informations sur les droits:CC BY-NC-ND 4.0
Description
Résumé:Nadia Yala Kisukidi : Le titre de cet entretien reprend celui d’une communication que vous avez donnée à l’Université de Genève en juin 2012. Comme vous l’aviez indiqué alors, l’expression est tirée d’un texte de Léopold Sédar Senghor lui-même daté du 31 Décembre 1963 intitulé Hommage à Pierre Teilhard de Chardin [Senghor 1993, pp. 9-13], dont voici l’extrait : « Pendant des années, j’ai cherché Dieu dans l’œuvre immense des deux penseurs [il s’agit de Marx et Engels]. En vain. Et pourtant je...
ISSN:1664-0136
Contient:Enthalten in: ThéoRèmes
Persistent identifiers:DOI: 10.4000/theoremes.430