Versicherungen fürs Fegefeuer. Bruderschaften und Liebesbünde nach Trient am Beispiel Salzburg (1600-1950)

The existence of a large scale of «confraternal» organisations in catholic (and orthodox) christianity for centuries has widely escaped the common and scientific memory. Their character composed of religious and secular aspects has always confused both jurists and historians. Relevant scientific stu...

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書目詳細資料
主要作者: Klieber, Rupert 1958- (Author)
格式: 電子 Article
語言:French
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Fernleihe:Fernleihe für die Fachinformationsdienste
出版: Université Catholique 2001
In: Revue d'histoire ecclésiastique
Year: 2001, 卷: 96, 發布: 1/2, Pages: 34-70
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Parallel Edition:Non-electronic
實物特徵
總結:The existence of a large scale of «confraternal» organisations in catholic (and orthodox) christianity for centuries has widely escaped the common and scientific memory. Their character composed of religious and secular aspects has always confused both jurists and historians. Relevant scientific studies so far don’t answer to several questions, especially those relating to the services of confraternities that motivated people to join and support them. The article reports results of an extensive study of «Confraternities after the Council of Trent» that is based on an unusual way of inquiry: It evaluated above all serial sources (like accounts, member-lists) of a limited region (Salzburg) but within a long period (1600-1950). As a result elements of a special model of organisation became evident: The prove of their assurance-like «service for the dead» (for burial, in purgatory) permitted a «historical» definition of confraternities or similar associations respectively, chosen criteria a distinction between various types of them. Furthermore the article tries to answer questions about their status in society (e.g. as employees, the dimension and significance of female memberships).
Les historiens prêtent généralement peu d’attention à l’existence d’organisations «confraternelles» côtoyant le monde catholique (et orthodoxe) à travers les siècles. Leur caractère complexe mêlé d’aspects religieux et séculiers mène les juristes et les historiens à des confusions. L’étude du phénomène laisse ouvertes tout un tas de questions, avant tout celle de la motivation de la population à rejoindre ce type d’organisation. Cet article fait référence à une grande étude sur les «Confréries après le Concile de Trente», qui s’appuie sur une méthode d’analyse spécifique. Il est basé sur des documents fabriqués en série (comptabilité, listes de membres) d’une région limitée (Salzburg) mais sur une période étendue (1600-1950). Il met en lumière les éléments structurels qui permettent de développer une définition historique de la confrérie à partir de sa vocation fondamentale, le «Service pour les Morts» (pour leurs enterrements, dans le purgatoire); des critères spécifiques créent une typologie. En outre, il permet d’aborder les questions liées à leur pertinence socio-politique ou économique (comme employeurs, la prédominance de membres féminins, etc.).
ISSN:2294-1088
Contains:Enthalten in: Revue d'histoire ecclésiastique
Persistent identifiers:DOI: 10.1484/J.RHE.3.2