Amphores rhodiennes vues à Damas par Henri Seyrig

Dans un de ses carnets, Henri Seyrig a copié les timbres apposés sur deux séries d’amphores rhodiennes, conservées au musée de Damas pour la première, au musée de Nicosie pour la seconde. Les amphores de Damas, qui seules demeurent inédites, font l’objet d’un commentaire détaillé. Elles font apparaî...

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Bibliographic Details
Main Author: Badoud, Nathan (Author)
Format: Electronic Article
Language:French
Check availability: HBZ Gateway
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Fernleihe:Fernleihe für die Fachinformationsdienste
Published: IFAPO 2010
In: Syria
Year: 2010, Volume: 87, Pages: 165-172
Online Access: Presumably Free Access
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Volltext (lizenzpflichtig)
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Parallel Edition:Non-electronic
Description
Summary:Dans un de ses carnets, Henri Seyrig a copié les timbres apposés sur deux séries d’amphores rhodiennes, conservées au musée de Damas pour la première, au musée de Nicosie pour la seconde. Les amphores de Damas, qui seules demeurent inédites, font l’objet d’un commentaire détaillé. Elles font apparaître une association jusqu’à présent inconnue entre le fabricant Πολύξενος et l’éponyme Ἀϱιστόμαχος 1, contribuant ainsi à l’amélioration de la chronologie des timbres amphoriques ; elles révèlent en outre une utilisation apparemment anormale de l’emblème dans l’atelier d’Ἀμύντας, susceptible d’éclairer le fonctionnement du système de timbrage rhodien. Il est ensuite question de l’apport d’Henri Seyrig à l’amphorologie : une correspondance de plus de trente ans avec Virginia Grace — grande figure de la discipline —, d’une part ; une réflexion sur la finalité du timbrage d’autre part.
ISSN:2076-8435
Contains:Enthalten in: Syria
Persistent identifiers:DOI: 10.4000/syria.672