La richesse de la réalité

“Critical realism” in its many variations retains an important position in today’s scientific and theological debate. While advanced by Ian Barbour, John Polkinghorne and Arthur Peacocke, an analysis of its origin and meaning leads to the question of whether this position proposed by scientist-theol...

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Detalles Bibliográficos
Autor principal: Losch, Andreas (Autor)
Tipo de documento: Electrónico Artículo
Lenguaje:Francés
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Publicado: Librairie Philosophique J. Vrin 2019
En: Revue des sciences philosophiques et théologiques
Año: 2019, Volumen: 103, Número: 1, Páginas: 43-64
Otras palabras clave:B Réalisme critique
B Éthique
B Épistémologie
B Réalisme critique-constructif
Acceso en línea: Volltext (lizenzpflichtig)
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Descripción
Sumario:“Critical realism” in its many variations retains an important position in today’s scientific and theological debate. While advanced by Ian Barbour, John Polkinghorne and Arthur Peacocke, an analysis of its origin and meaning leads to the question of whether this position proposed by scientist-theologians misses an intrinsic feature of the personal dimension of reality, incorporated in the human sciences. Considering social science’s insight that persons responsible for their conclusions and actions drive the process of science, the ethical aspect of science may not be overlooked. To integrate these aspects into a coherent position requires a more differentiated epistemological model, grounded in ethics. The idea proposed in this paper is to modify critical realism into constructive-critical realism.
Le « réalisme critique », dans ses nombreuses variantes, garde une place importante dans le débat scientifique et théologique d’aujourd’hui. Alors qu’il a été mis substantiellement en avant par Ian Barbour, John Polkinghorne et Arthur Peacocke, une analyse de son origine et de son sens conduit à se demander si cette position proposée par les théologiens-scientifiques n’omet pas une caractéristique intrinsèque de la dimension personnelle de la réalité incorporée dans les sciences humaines. Compte tenu de la vision des sciences sociales qui considèrent que des personnes responsables de leurs conclusions et actions conduisent le processus scientifique, l’aspect éthique de la science ne peut être ignoré. Pour intégrer ces aspects dans une approche cohérente, il faut un modèle épistémologique plus différencié, qui se fonde dans l’éthique. L’idée proposée dans cet article est de modifier le réalisme critique en réalisme critique-constructif.
ISSN:2118-4445
Obras secundarias:Enthalten in: Revue des sciences philosophiques et théologiques
Persistent identifiers:DOI: 10.3917/rspt.1031.0043